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Les mesures d'incitation et d'avantage comparatif : théories et quelques problèmes d'application, Réseau de Recherche sur les Politiques Industrielles en Afrique (RPI)
EAN13
9782869788251
Éditeur
Coédition NENA/CODESRIA
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Les mesures d'incitation et d'avantage comparatif : théories et quelques problèmes d'application

Réseau de Recherche sur les Politiques Industrielles en Afrique (RPI)

Coédition NENA/CODESRIA

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782869788251
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    3.49
Après une trentaine d'années d'expérience avec les mesures d'incitation, et
d'avantage comparatif, il est opportun de revoir ces concepts à la lumière des
études empiriques et des discussions qu'ils ont provoquées dans la
littérature. L'expérience de l'ajustement structurel dans les pays en
développement a suscité un nouvel intérêt dans la structure de protection,
ainsi que les mesures de la protection et de l'efficacité. La littérature sur
ces indices a deux racines principales : la théorie de la protection et
l'analyse coût-bénéfice. L'incitation au niveau des prix de l'extrant est
mesurée par le taux de protection nominale (TPN), et au niveau de la valeur
ajoutée par le taux de protection effective (TPE). Le fondement théorique de
ces indices est bien établi, les principales sources étant Balassa (1965),
Balassa et al. (1971), et Corden (1966 et 1971). Ensuite, Schydlowsky (1967) a
argumenté que l'incitation du profit, plutôt que l'incitation de la valeur
ajoutée, est celle qui importe dans les décisions de l'entreprise. Cette idée
a conduit Balassa et al. (1982) à proposer plusieurs indices d'incitation au
niveau du profit ou du rendement du capital. En même temps, plusieurs
économistes de la Banque d'Israël ont développé le coefficient de coût en
ressources intérieures (CCRI)1 comme un critère d'investissement. Ce dernier
indice a souvent été comparé avec le TPE, à cause de sa structure similaire au
TPE. En dépit d'un débat illuminant dans la littérature (cf. Balassa et
Schydlowsky 1972; Bruno, 1972), il s'est néanmoins réparti une opinion selon
laquelle le CCRI mesure la même chose que le TPE. Encore récemment, la Banque
Mondiale a publié par son Institut de Développement Économique un article
(Helmers, 1988), qui assure l'égalité entre ces concepts sans, néanmoins,
établir les conditions sur lesquelles repose cette égalité potentielle.
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