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Je ne regrette rien : la poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er R.E.P., La poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er REP
EAN13
9782213690322
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Fayard)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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Je ne regrette rien : la poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er R.E.P.

La poignante histoire des légionnaires parachutistes du 1er REP

FeniXX réédition numérique (Fayard)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782213690322
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    9.49

  • Aide EAN13 : 9782213694481
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    9.49
Un document : la première histoire de la plus glorieuse unité de l’armée
française en Indochine et en Algérie. Un auteur : Pierre Sergent, lieutenant,
puis capitaine, dans les rangs de ces bérets verts, qui a participé en
personne aux événements qu’il décrit et qui en a connu tous les acteurs. Une
tragédie : cette unité de légionnaires-parachutistes a été anéantie trois
fois. Deux fois en Indochine : 500 bérets verts engagés dans la désastreuse
affaire de Cao Bang, 470 morts et disparus ; et un millier à la pointe du
combat à Dien Bien Phu, 600 tués, 400 blessés. Et ce troisième et dernier
anéantissement en Algérie : après avoir gagné la guerre du djebel et celle
d’Alger, le 1er REP a été le fer de lance du putsch du 22 avril 1961. Huit
jours après, le régiment était définitivement dissous. Des acteurs à
l’inoubliable courage, les plus fins guerriers de la jeune armée française :
Jeanpierre, Degueldre, Morin, Martin, Faulques, Cabiro, Tasnady, et cent
autres, Français de naissance ou Français « par le sang versé »... Segretain,
commandant du 1er BEP, et Jeanpierre, commandant du 1er REP, ont été tués au
combat. En Indochine, tous les capitaines, la moitié des lieutenants, la
presque totalité des sous-officiers et des légionnaires sont morts au champ
d’honneur ou dans les camps viets. En Algérie, en terre maintenant étrangère,
les cimetières de Zéralda et de Guelma sont remplis de tombes de légionnaires-
parachutistes. En France, le carré des fusillés du cimetière de Thiais a reçu
les dépouilles mortelles de deux bérets verts : le lieutenant Degueldre et le
sergent Dovecar... Le combat a cessé. Presque tous les officiers du 1er REP
ont quitté l’armée. Quelques sous-officiers rêvent de leur passé dans les
casernes métropolitaines. Les légionnaires survivants sont repartis dans leurs
pays. Mais, dans le cœur de tous, vit le drapeau à la fourragère jaune et
verte et aux cinq palmes, qui dort au musée de la Légion. « Non, je ne
regrette rien » chantaient les légionnaires-parachutistes en quittant pour la
dernière fois, il y a aujourd’hui dix ans, leur camp de Zéralda. Le célèbre
refrain d’Edith Piaf les entraînait dans l’Histoire. Le capitaine Pierre
Sergent vous entraîne à leur suite sur les chemins de la gloire et de la mort.
Personne ne regrettera rien...
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