- EAN13
- 9782204147507
- ISBN
- 978-2-204-14750-7
- Éditeur
- Cerf
- Date de publication
- 18/08/2022
- Collection
- Sources chrétiennes (SOCH000630)
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie.
L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie. Des raisons politiques, mais surtout des relations personnelles, de respect filial chez l'un, d'affection paternelle chez l'autre, unissaient le jeune empereur, mort à 21 ans, et l'évêque de Milan. La mort brutale et inattendue de Valentinien avait soulevé des interrogations sur sa mort, assassinat ou suicide. La question n'était pas tranchée quand l'évêque prit la parole : il se refusa, par prudence politique ou manque de certitude, à y répondre, tout en s'efforçant de répliquer à ceux qui l'incriminaient pour cette mort. Le débat – suicide ou assassinat – n'a donc pas cessé d'intriguer les historiens, partagés entre des réponses également hypothétiques.
L'oraison funèbre de l'empereur Valentinien II (375-392) a été prononcée par Ambroise, évêque de Milan, en juillet/août 392, plus de deux mois après la mort du prince (15 mai 392) à Vienne, d'où il se disposait à passer en Italie. Des raisons politiques, mais surtout des relations personnelles, de respect filial chez l'un, d'affection paternelle chez l'autre, unissaient le jeune empereur, mort à 21 ans, et l'évêque de Milan. La mort brutale et inattendue de Valentinien avait soulevé des interrogations sur sa mort, assassinat ou suicide. La question n'était pas tranchée quand l'évêque prit la parole : il se refusa, par prudence politique ou manque de certitude, à y répondre, tout en s'efforçant de répliquer à ceux qui l'incriminaient pour cette mort. Le débat – suicide ou assassinat – n'a donc pas cessé d'intriguer les historiens, partagés entre des réponses également hypothétiques.
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