- EAN13
- 9782204150576
- Éditeur
- Les éditions du Cerf
- Date de publication
- 17/05/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782204150576
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
14.99
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Papier - Cerf 20,00
Que reste-t-il de la gauche ? De celle de Jean Ferrat et des damnés de la
terre ? De celle qui aimait la France, son histoire, ses paysages et sa
passion farouche pour l'égalité ? Qu'en reste-t-il quand tous les idéaux ont
été trahis, quand les petites compromissions ont remplacé la défense du camp
du travail ? Cette gauche, Paul Melun l'a aimée, et aspire à la voir renaître.
Pour qu'adviennent enfin la reconstruction et le temps du sursaut.
Que reste-t-il de la gauche ? De celle de Jean Ferrat et des damnés de la
terre ? De celle qui aimait la France, son histoire, ses paysages et sa
passion farouche pour l'égalité ? Qu'en reste-t-il quand tous les idéaux ont
été trahis, quand les petites compromissions ont remplacé la défense du camp
du travail ? Cette gauche, Paul Melun l'a aimée et aspire à la voir renaître.
Pour qu'adviennent enfin la reconstruction et le temps du sursaut. Populaire,
sa famille l'était. Sa gauche aussi. Héritière du mouvement ouvrier, elle
croyait dans la justice, elle exhortait les humbles à relever la tête pour des
lendemains meilleurs. " La gauche avait quelque chose de magique. Elle
exerçait une forme de transcendance sur nos vies. Un souffle inaltérable de
bonheur. " Aujourd'hui, Paul Melun sent la gauche de son enfance se dérober
sous ses pieds, se perdre dans les limbes d'un siècle qu'elle peine à
comprendre. Sa gauche offrait du pain aux déshérités et protégeait les plus
faibles. Sa gauche était fraternelle et combattait les passions égoïstes. Sa
gauche est morte. Ses héritiers ont embrassé les pires instincts de l'époque
et ont érigé l'individualisme en totem. De trahisons en trahisons, la gauche a
perdu son âme et ses électeurs.
Le récit personnel se mêle à l'histoire politique pour raconter ce qui est
disparu, ce qui doit renaître. C'est la voix d'un jeune homme qui a choisi de
ne pas opter pour le cynisme ou l'indifférence, mais qui veut encore croire au
politique.
terre ? De celle qui aimait la France, son histoire, ses paysages et sa
passion farouche pour l'égalité ? Qu'en reste-t-il quand tous les idéaux ont
été trahis, quand les petites compromissions ont remplacé la défense du camp
du travail ? Cette gauche, Paul Melun l'a aimée, et aspire à la voir renaître.
Pour qu'adviennent enfin la reconstruction et le temps du sursaut.
Que reste-t-il de la gauche ? De celle de Jean Ferrat et des damnés de la
terre ? De celle qui aimait la France, son histoire, ses paysages et sa
passion farouche pour l'égalité ? Qu'en reste-t-il quand tous les idéaux ont
été trahis, quand les petites compromissions ont remplacé la défense du camp
du travail ? Cette gauche, Paul Melun l'a aimée et aspire à la voir renaître.
Pour qu'adviennent enfin la reconstruction et le temps du sursaut. Populaire,
sa famille l'était. Sa gauche aussi. Héritière du mouvement ouvrier, elle
croyait dans la justice, elle exhortait les humbles à relever la tête pour des
lendemains meilleurs. " La gauche avait quelque chose de magique. Elle
exerçait une forme de transcendance sur nos vies. Un souffle inaltérable de
bonheur. " Aujourd'hui, Paul Melun sent la gauche de son enfance se dérober
sous ses pieds, se perdre dans les limbes d'un siècle qu'elle peine à
comprendre. Sa gauche offrait du pain aux déshérités et protégeait les plus
faibles. Sa gauche était fraternelle et combattait les passions égoïstes. Sa
gauche est morte. Ses héritiers ont embrassé les pires instincts de l'époque
et ont érigé l'individualisme en totem. De trahisons en trahisons, la gauche a
perdu son âme et ses électeurs.
Le récit personnel se mêle à l'histoire politique pour raconter ce qui est
disparu, ce qui doit renaître. C'est la voix d'un jeune homme qui a choisi de
ne pas opter pour le cynisme ou l'indifférence, mais qui veut encore croire au
politique.
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