- EAN13
- 9782764417898
- Éditeur
- Québec Amérique
- Date de publication
- 2004
- Collection
- Littérature d'Amérique
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Du jour au lendemain, un homme abandonne sa femme, ses enfants, son emploi, sa
voiture pour habiter en permanence dans un café. Voici la prémice surprenante
de L’Homme-café, le troisième roman de François Désalliers. Péripétie après
péripétie, ce roman explore l’abandon progressif des points de repère
familiers au profit d’un idéal inatteignable. L’Homme-café, à la fois fable,
conte et récit épique, met en scène une galerie de personnages colorés et
attachants qui élaborent, à petites touches tantôt graves, tantôt baroques,
tantôt corrosives, une fascinante et subtile réflexion sur la solitude, la
création, la responsabilité et la famille. Le jour où Jean-Marie Lalonde, 40
ans, marié et père de 2 enfants, s’arrête au Café Mollo, tout bascule. Une
force mystérieuse va l’y tenir en otage. Il ne sait pas pourquoi mais il ne
peut plus retourner en arrière. N’écoutant que son instinct, il va se mettre à
dessiner son environnement et à élaborer toutes sortes de stratagèmes afin de
prolonger son séjour en ce lieu. Deux mois passent sans que les employés se
doutent de quelque chose. Et lorsque le patron du café et son fils Luigi
s’aperçoivent de cet état de siège, ceux-ci flairent la bonne affaire et vont
chercher à tirer profit de cette présence inusitée. C’est ainsi que Jean-Marie
va devenir l’homme-café, la nouvelle attraction en ville. Des gens vont faire
la file pour venir rencontrer cet être dont les motivations demeurent
inconnues mais qui néanmoins assure la prospérité du commerce où il a élu
domicile. Ce qui, il va sans dire, n’aura pas l’heur de plaire à sa femme
Manon, à ses enfants, à ses employeurs, à son meilleur ami et même à une
ancienne cliente qui ne jurait que par lui. Le phénomène prend une telle
ampleur que même la radio et la télévision se penchent sur son cas.
voiture pour habiter en permanence dans un café. Voici la prémice surprenante
de L’Homme-café, le troisième roman de François Désalliers. Péripétie après
péripétie, ce roman explore l’abandon progressif des points de repère
familiers au profit d’un idéal inatteignable. L’Homme-café, à la fois fable,
conte et récit épique, met en scène une galerie de personnages colorés et
attachants qui élaborent, à petites touches tantôt graves, tantôt baroques,
tantôt corrosives, une fascinante et subtile réflexion sur la solitude, la
création, la responsabilité et la famille. Le jour où Jean-Marie Lalonde, 40
ans, marié et père de 2 enfants, s’arrête au Café Mollo, tout bascule. Une
force mystérieuse va l’y tenir en otage. Il ne sait pas pourquoi mais il ne
peut plus retourner en arrière. N’écoutant que son instinct, il va se mettre à
dessiner son environnement et à élaborer toutes sortes de stratagèmes afin de
prolonger son séjour en ce lieu. Deux mois passent sans que les employés se
doutent de quelque chose. Et lorsque le patron du café et son fils Luigi
s’aperçoivent de cet état de siège, ceux-ci flairent la bonne affaire et vont
chercher à tirer profit de cette présence inusitée. C’est ainsi que Jean-Marie
va devenir l’homme-café, la nouvelle attraction en ville. Des gens vont faire
la file pour venir rencontrer cet être dont les motivations demeurent
inconnues mais qui néanmoins assure la prospérité du commerce où il a élu
domicile. Ce qui, il va sans dire, n’aura pas l’heur de plaire à sa femme
Manon, à ses enfants, à ses employeurs, à son meilleur ami et même à une
ancienne cliente qui ne jurait que par lui. Le phénomène prend une telle
ampleur que même la radio et la télévision se penchent sur son cas.
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