- EAN13
- 9782402459488
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Mutualité française)
- Date de publication
- 1987
- Collection
- A l'écoute des sources
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Biographies de personnalités mutualistes : XIX et XXe siècles
Jean Bennet
FeniXX réédition numérique (Mutualité française)
A l'écoute des sources
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782402459488
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
5.49
Jean Bennet, né en 1916, d'un père aveyronnais et d'une mère parisienne, rien
ne prédestinait Jean-Paul Bennet à la carrière qu'il a menée à la fédération
nationale de la Mutualité française. En effet, une fois bachelier, il ne peut
poursuivre ses études, et c'est en 1938 qu'il entre comme employé à la
F.N.M.F. à titre provisoire : il y restera, en fait, jusqu'en 1976. En 1941,
il entre au Bureau de la Mutualité sous la direction de Marc Degas et gravit
tous les échelons, après avoir obtenu un diplôme d'État à l'École nationale
d'organisation économique. Pendant l'Occupation, toujours au côté de M. Degas,
il crée la Société coopérative d'entraide sociale de la Mutualité en faveur du
personnel, dont il sera secrétaire général, puis président. Enfin, en 1947, il
refuse son reclassement dans les nouveaux organismes de la Sécurité sociale,
et préfère rester à la F.N.M.F., où il secondera très activement M. Degas et
M. de Lagarde dans la mise en place du régime de prévoyance du personnel de la
Mutualité, étendu plus tard au personnel des groupements sociaux à but non
lucratif, et qui deviendra la Caisse de prévoyance des organismes mutualistes
(C.P.M.). Il organisera, durant toute sa carrière, de nombreuses
manifestations mutualistes. À la retraite depuis 1976, il n'a cessé de
s'intéresser aux origines et au développement de la Mutualité en France. Il
est, à ce titre, membre de l'association pour l'étude de l'histoire de la
Sécurité sociale.
ne prédestinait Jean-Paul Bennet à la carrière qu'il a menée à la fédération
nationale de la Mutualité française. En effet, une fois bachelier, il ne peut
poursuivre ses études, et c'est en 1938 qu'il entre comme employé à la
F.N.M.F. à titre provisoire : il y restera, en fait, jusqu'en 1976. En 1941,
il entre au Bureau de la Mutualité sous la direction de Marc Degas et gravit
tous les échelons, après avoir obtenu un diplôme d'État à l'École nationale
d'organisation économique. Pendant l'Occupation, toujours au côté de M. Degas,
il crée la Société coopérative d'entraide sociale de la Mutualité en faveur du
personnel, dont il sera secrétaire général, puis président. Enfin, en 1947, il
refuse son reclassement dans les nouveaux organismes de la Sécurité sociale,
et préfère rester à la F.N.M.F., où il secondera très activement M. Degas et
M. de Lagarde dans la mise en place du régime de prévoyance du personnel de la
Mutualité, étendu plus tard au personnel des groupements sociaux à but non
lucratif, et qui deviendra la Caisse de prévoyance des organismes mutualistes
(C.P.M.). Il organisera, durant toute sa carrière, de nombreuses
manifestations mutualistes. À la retraite depuis 1976, il n'a cessé de
s'intéresser aux origines et au développement de la Mutualité en France. Il
est, à ce titre, membre de l'association pour l'étude de l'histoire de la
Sécurité sociale.
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