- EAN13
- 9782402167758
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Albin Michel)
- Date de publication
- 1981
- Collection
- Spécial suspense
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le système de l'homme-mort
Jean-Luc Fromental, François Landon
FeniXX réédition numérique (Albin Michel)
Spécial suspense
Livre numérique
Octobre 1981. Gabriel Carré, chef de l’État depuis les élections de mai,
inaugure avec trois cents privilégiés la ligne TGV. Dans un climat social à
l’italienne, le nouveau train et le nouveau président font une cible de choix.
Louis Maginot est le flic de l’Élysée. Ce matin-là, il a deux soucis : la
sécurité de son patron et une dent de sagesse tardive. Deux raisons d’abuser
des calmants. La troisième arrive par radio, cinq minutes après le départ :
une voix incohérente enregistrée sur cassette prédit la destruction de la rame
présidentielle. Faut-il arrêter le TGV ? Seul contre tous, contre la montre et
la logique, Maginot doit d’abord répondre à deux questions contradictoires :
Qui a posé une bombe dans la rame ? Pourquoi le terroriste est-il à bord ?
L’enquête à 260 à l’heure, sous l’œil glauque des caméras TV, dans le
grésillement désincarné des talkies-walkies, va remettre en scène un amour
mort de mort violente, faire s’affronter furieusement des personnages au-
dessus de toute passion, révéler que le terroriste n’en est pas un mais que la
bombe, elle, est bien là. L’enquête devient chasse à l’homme. La folie souffle
dans la rame. De la première étincelle d’angoisse à l’éclatement final, vous
ne descendrez pas de ce TGV et vous n’arriverez pas indemne au bout de la
ligne. Un train performant, un ton agressif. Un thriller sous 25 000 volts.
inaugure avec trois cents privilégiés la ligne TGV. Dans un climat social à
l’italienne, le nouveau train et le nouveau président font une cible de choix.
Louis Maginot est le flic de l’Élysée. Ce matin-là, il a deux soucis : la
sécurité de son patron et une dent de sagesse tardive. Deux raisons d’abuser
des calmants. La troisième arrive par radio, cinq minutes après le départ :
une voix incohérente enregistrée sur cassette prédit la destruction de la rame
présidentielle. Faut-il arrêter le TGV ? Seul contre tous, contre la montre et
la logique, Maginot doit d’abord répondre à deux questions contradictoires :
Qui a posé une bombe dans la rame ? Pourquoi le terroriste est-il à bord ?
L’enquête à 260 à l’heure, sous l’œil glauque des caméras TV, dans le
grésillement désincarné des talkies-walkies, va remettre en scène un amour
mort de mort violente, faire s’affronter furieusement des personnages au-
dessus de toute passion, révéler que le terroriste n’en est pas un mais que la
bombe, elle, est bien là. L’enquête devient chasse à l’homme. La folie souffle
dans la rame. De la première étincelle d’angoisse à l’éclatement final, vous
ne descendrez pas de ce TGV et vous n’arriverez pas indemne au bout de la
ligne. Un train performant, un ton agressif. Un thriller sous 25 000 volts.
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