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Noir d'ivoire, Un thriller entre Ajaccio et Marseille
EAN13
9782374641577
Éditeur
Sudarènes Éditions
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Noir d'ivoire

Un thriller entre Ajaccio et Marseille

Sudarènes Éditions

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782374641577
    • Fichier EPUB, libre d'utilisation
    2.99

  • Aide EAN13 : 9782374641577
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    2.99

Autre version disponible

Enquête au sein du mystérieux marché de l'art...

L’intrigue débute par l’assassinat, dimanche 18 juillet à 8h30, d’un
restaurateur de tableaux mondialement connu pour ses recherches sur les
pigments utilisés par Le Caravage. Son corps git, bras en croix, décapité, sur
la plage arrière d’un navire appareillant depuis Ajaccio vers Marseille. Cet
expert escortait cinq toiles du Musée Fesch, d’une valeur de 6 millions
d’Euros, pour consolidation des cadres et divers rafistolages dans ses
ateliers phocéens.
Mon personnage principal surnommé par sa hiérarchie Carl le Mat, colonel du
GIGN, est en congé annuel au moment des faits. Il se retrouve seul policier à
bord et sans aucun mandat officiel pour enquêter. Qu’à cela ne tienne, il
récupère le maximum d’indices avant que le « Napoléon Bonaparte » ne ré-
accoste. Un « flic cafteur de truands » ne tarde pas à compliquer la tâche des
policiers de la JIRS d’Ajaccio enfin parvenus sur le bateau. La victime n’est
pas celle escomptée par les commanditaires du tueur. Deux affaires se
superposent. Trois pistes parmi les plus grands collectionneurs mondiaux
restent à explorer…

Un thriller inspiré de faits réels et qui emmène les lecteurs de l'île de
Beauté à la cité phocéenne !

EXTRAIT

Le colonel Carl le Mat, diminutif de Charles Matthieu, excédé l’instant
d’avant par les pétarades de la moto, était venu se détendre dans le salon de
réception pour saluer ses anciens copains de lycée promus officiers de marine.
Le commandant de bord, alerté par le personnel de faction à l’arrière du
navire prévient son ami colonel du drame.
C’est au pas de course que l’officier du GIGN se dirige vers le pont, bondé,
de la paillotte. La carte tricolore qu’il exhibe, de droite et de gauche, pour
se frayer un passage dans la foule hypnotisée ne lui est d’aucun secours. En
vain, personne ne le calcule. Les gens agglutinés, les uns derrière les
autres, font barrage. Un des garçons du bar, prénommé Antoine, se meut
péniblement dans son sillage et l’apostrophe par de curieuses onomatopées:
– C’est à-à-à-à … rien … y-y-y-y …
– Y-a-t-il eu des détonations ? demande le colonel.
– Au-au-au-aucune !
– Comment ça, aucune ? T’en es sûr ?
– Cer-cer-certain, Mon Colonel. J’astiquais le-le-le zinc du bar, juste
derrière, avec Tous-Tous-Toussaint. Le corps est venu s’abattre, à deux
mètres. Devant, deux mètres, devant… devant… devant ! répète-t-il à n’en plus
finir, en désignant le point de chute d’un index tétanisé.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Né de père et de mère corses, Jean-Pierre Simoni a eu la chance d’étudier la
médecine à la faculté de Marseille. Après trois décennies d’activité, comme
médecin omnipraticien dans les collines de Pagnol, il se consacre à l’écriture
en dehors de ses obligations familiales.
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