- EAN13
- 9782226235275
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 10/2012
- Collection
- Hors Collection
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 21,50
En janvier 2001, je fus plusieurs fois agressé sur des plateaux de télévision
et dans la presse par un prince consort de l'ordre mitterrandien, un « psy »
déséquilibré, gardien de ses seuls fantasmes. Répétées et aggravées sur
d'autres antennes, ces attaques m'ont convaincu de la nécessité d'ouvrir plus
grand les dossiers de la corruption et des crimes dÉtat, d'accélérer la
rédaction de mes Carnets secrets. Confronté au mensonge et à la calomnie, le
journaliste n'a qu'une arme : la vérité, toute la vérité.
Méconnus du grand public, toujours impunis et dans l'ombre, voici Les voyous
de la République, tels qu'en eux-mêmes, tels que je les ai découverts et
parfois subis. A cause d'eux, des centaines de milliards d'argent public
s'envolent, les scandales sont de plus en plus dévastateurs.
Avec l'incroyable « affaire Erulin », je découvre que, pour nourrir sa gloire
et pouvoir justifier les méthodes des barbouzes installées à la présidence de
la République pour protéger sa seconde famille, François Mitterrand permet,
dès 1982 et jusqu'à la fin de son règne, l'organisation à l'Élysée d'un
attentat virtuel contre lui-même, et que soit brisée la vie d'un innocent.
Avec l'inquiétante affaire d'un maître chanteur qui menace l'État, je montre
comment, sous Jacques Chirac, un affairiste déguisé en « agent diplomatique
indépendant... à 10% » s'attaque à un ministre en exercice, intrigue pour me
faire envoyer en prison et utilise abusivement le président de la République
et la justice pour s'enrichir honteusement.
Jean Montaldo
et dans la presse par un prince consort de l'ordre mitterrandien, un « psy »
déséquilibré, gardien de ses seuls fantasmes. Répétées et aggravées sur
d'autres antennes, ces attaques m'ont convaincu de la nécessité d'ouvrir plus
grand les dossiers de la corruption et des crimes dÉtat, d'accélérer la
rédaction de mes Carnets secrets. Confronté au mensonge et à la calomnie, le
journaliste n'a qu'une arme : la vérité, toute la vérité.
Méconnus du grand public, toujours impunis et dans l'ombre, voici Les voyous
de la République, tels qu'en eux-mêmes, tels que je les ai découverts et
parfois subis. A cause d'eux, des centaines de milliards d'argent public
s'envolent, les scandales sont de plus en plus dévastateurs.
Avec l'incroyable « affaire Erulin », je découvre que, pour nourrir sa gloire
et pouvoir justifier les méthodes des barbouzes installées à la présidence de
la République pour protéger sa seconde famille, François Mitterrand permet,
dès 1982 et jusqu'à la fin de son règne, l'organisation à l'Élysée d'un
attentat virtuel contre lui-même, et que soit brisée la vie d'un innocent.
Avec l'inquiétante affaire d'un maître chanteur qui menace l'État, je montre
comment, sous Jacques Chirac, un affairiste déguisé en « agent diplomatique
indépendant... à 10% » s'attaque à un ministre en exercice, intrigue pour me
faire envoyer en prison et utilise abusivement le président de la République
et la justice pour s'enrichir honteusement.
Jean Montaldo
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