La première librairie coopérative de Bruxelles !
Commandez en ligne 24h/24, 7jours/7 !

Click and collect (commande en ligne et livraison gratuite en magasin)
Livraison à domicile à vélo via une coopérative locale dans toute la Région Bruxelles Capitale !

Chaussée d'Alsemberg, 374
1180 Uccle - BRUXELLES
contact@quartierlibre.coopTel.: +32 23 15 45 27

 

 

Pierre-Auguste Renoir et œuvres d'art
EAN13
9781781608838
Éditeur
Parkstone International
Date de publication
Collection
Mega Square
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Pierre-Auguste Renoir et œuvres d'art

Parkstone International

Mega Square

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9781781608838
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    5.00

  • Aide EAN13 : 9781781608838
    • Fichier EPUB, avec DRM Adobe
      Impression

      Impossible

      Copier/Coller

      Impossible

      Partage

      6 appareils

      Lecture audio

      Impossible

    11.99
Pierre–Auguste Renoir (Limoges, 1841 – Cagnes-Sur-Mer, 1919) Pierre-Auguste
Renoir naquit le 25 février 1841 à Limoges. En 1854, ses parents retirèrent
l'enfant de l'école et le placèrent dans l'atelier des frères Lévy afin qu'il
apprenne la peinture sur porcelaine. Son frère cadet, Edmond Renoir,racontait
: «De ce qu'il usait des bouts de charbon sur les murs, on en conclut qu'il
aurait du goût pour une profession artistique. Nos parents le placèrent donc
chez un peintre en porcelaine. » Un des ouvriers de Lévy, Emile Laporte,
pratiquait la peinture à l'huile pour son plaisir. Il proposa à Renoir
d'utiliser ses toiles et ses couleurs. Et c'est récisément ainsi que naquit le
premier tableau du futur impressionniste, qui fut montré très solennellement à
Laporte dans la maison des Renoir. En 1862, Auguste Renoir réussit son examen
d'entrée à l'École des Beaux-Arts. Il fréquente en même temps un atelier libre
où enseigne le professeur Charles Gleyre. Le deuxième événement important de
cette période de la vie de Renoir fut la rencontre, dans l'atelier Gleyre, de
ceux qui devinrent ses meilleurs amis tout au long de sa vie et ses compagnons
dans l'art. À un âge plus avancé, l'artiste déjà mûr eut la possibilité de
voir des Rembrandt en Hollande, des Velàzquez, Goya et le Greco en Espagne, et
des Raphaël en Italie. À l'époque où les amis se retrouvaient à la Closerie
des Lilas, Renoir continuait de puiser son inspiration au Louvre : «Et pour
moi, au moment de Gleyre, le Louvre c'était Delacroix. » La première
exposition des impressionnistes devint, pour Renoir, le moment d'assertion de
sa propre vision du peintre. Dans la vie de l'artiste, cette période fut
marquée encore par un événement significatif : en 1873, il emménagea à
Montmartre au numéro 35 de la rue Saint-Georges, où il vécut jusqu'en 1884. Il
resta fidèle à Montmartre jusqu'à la fin de sa vie. Là, il trouva ses motifs
de plein air, ses modèles et même sa famille. C'est justement dans les années
1870 que Renoir se fit des amis qui l'accompagnèrent jusqu'à la fin de ses
jours. Le marchand Durand-Ruel devint l'un d'eux. Il commença à lui acheter
des tableaux en 1872. L'été, comme toujours, Renoir peignait beaucoup, avec
Monet, en plein air. Il venait à Argenteuil où Monet louait une maison pour sa
famille. Avec eux travaillait parfois Edouard Manet. En 1877, à la troisième
exposition des impressionnistes, Renoir présenta plus de vingt peintures.
C'étaient des paysages exécutés à Paris, sur la Seine, en dehors de la ville
et dans le jardin de Claude Monet ; des études de visages de femmes et des
bouquets de fleurs ; les portraits de Sisley, de l'actrice Jeanne Samary, de
l'écrivain Alphonse Daudet et de l'homme politique Spuller ; il y avait aussi
La Balançoire et le Bal au Moulin de la Galette. Dans les années 1880, Renoir
connut enfin le véritable succès. Il travaillait sur des commandes de riches
financiers, de la propriétaire des Grands Magasins du Louvre, du sénateur
Goujon. Ses peintures furent exposées à Londres, à Bruxelles, à la septième
exposition internationale chez Georges Petit (1886). Dans sa lettre adressée à
Durand-Ruel, à New York, il écrit : «L'exposition de Petit est ouverte et elle
a pas mal de succès, diton. Car c'est difficile de savoir soi-même ce qui se
passe. Je crois avoir fait un pas dans l'estime publique, petit pas. Mais
c'est toujours ça ».
S'identifier pour envoyer des commentaires.