- EAN13
- 3561302881287
- Éditeur
- Frémeaux et associés
- Date de publication
- 03/09/2017
- Langue
- français
- Langue d'origine
- russe
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 3561302881287
- Lecture audio en ligne, libre d'utilisation
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Papier - Actes Sud 7,10
"Premier des romanciers modernes, Fiodor Dostoïevski est parmi les plus grands
écrivains russes du XIXe siècle. Dans « Les Carnets du sous-sol », il fait le
récit d’un homme reclus qui depuis son sous-sol observe le monde en contre-
plongée. Le narrateur crache ses mots avec aigreur, son refus obstiné du
bonheur, déverse ses angoisses et sa haine envers l’humanité. Ecrit en 1864,
on y retrouve un condensé de la fureur barbare qui fait l’oeuvre de l’auteur
et les bases des grands romans à venir : « Crimes et châtiments », « Le Joueur
», ou « Les Frères Karamazov ». Produit par Mâya Heuse des Éditions Thélème,
Hubert-Félix Thiéfaine, avec sa diction émue et mordante, à la fois constante
et solennelle, arrive à transmettre à l’auditeur toute la mélancolie, la
sincérité et la violence du roman. Il met à nue toute la poésie de cette
oeuvre que l’on se prêterait à qualifier de proto-punk, par sa désillusion, sa
vision désenchantée du monde et qui comme l’indiquait l’auteur, se voulait le
récit « d’une génération en survie". Patrick FRÉMEAUX
écrivains russes du XIXe siècle. Dans « Les Carnets du sous-sol », il fait le
récit d’un homme reclus qui depuis son sous-sol observe le monde en contre-
plongée. Le narrateur crache ses mots avec aigreur, son refus obstiné du
bonheur, déverse ses angoisses et sa haine envers l’humanité. Ecrit en 1864,
on y retrouve un condensé de la fureur barbare qui fait l’oeuvre de l’auteur
et les bases des grands romans à venir : « Crimes et châtiments », « Le Joueur
», ou « Les Frères Karamazov ». Produit par Mâya Heuse des Éditions Thélème,
Hubert-Félix Thiéfaine, avec sa diction émue et mordante, à la fois constante
et solennelle, arrive à transmettre à l’auditeur toute la mélancolie, la
sincérité et la violence du roman. Il met à nue toute la poésie de cette
oeuvre que l’on se prêterait à qualifier de proto-punk, par sa désillusion, sa
vision désenchantée du monde et qui comme l’indiquait l’auteur, se voulait le
récit « d’une génération en survie". Patrick FRÉMEAUX
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