- EAN13
- 3328140024845
- Éditeur
- Des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 09/09/2021
- Collection
- La Bibliothèque des voix
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
L’orpheline Giuseppa est surnommée « La Fortuna » pour la main généreuse qui a
payé son éducation dans un couvent de Sicile. Elle mène toutefois une
existence âpre au milieu de religieuses au cœur sec. Sa soif du monde et de
liberté lui donne à l’âge adulte la force d’emmener mari et fils loin de la
tyrannie de sa belle-famille, et loin de la terre natale. Avec pour seule
boussole sa confiance en un avenir meilleur, elle entreprend de traverser la
Méditerranée pour rejoindre les rives de la Tunisie, « petite Amérique » de
l’immigration italienne, et pour se bâtir une nouvelle vie de femme libre. «
J’ai un peu lu : Bible, contes siciliens, manuels de savoir-vivre français,
traités de jardinage. Maigre bagage, pour un esprit qui s’éveille. Mais les
sœurs craignaient que mon esprit ne caracole loin d’elles et limitaient mon
horizon. Elles m’ont inculqué la peur de l’inconnu, pour faire de moi une
fille docile, craignant de quitter la niche. Il fallait que je leur échappe,
que je leur désobéisse pour vivre. » F. G.
payé son éducation dans un couvent de Sicile. Elle mène toutefois une
existence âpre au milieu de religieuses au cœur sec. Sa soif du monde et de
liberté lui donne à l’âge adulte la force d’emmener mari et fils loin de la
tyrannie de sa belle-famille, et loin de la terre natale. Avec pour seule
boussole sa confiance en un avenir meilleur, elle entreprend de traverser la
Méditerranée pour rejoindre les rives de la Tunisie, « petite Amérique » de
l’immigration italienne, et pour se bâtir une nouvelle vie de femme libre. «
J’ai un peu lu : Bible, contes siciliens, manuels de savoir-vivre français,
traités de jardinage. Maigre bagage, pour un esprit qui s’éveille. Mais les
sœurs craignaient que mon esprit ne caracole loin d’elles et limitaient mon
horizon. Elles m’ont inculqué la peur de l’inconnu, pour faire de moi une
fille docile, craignant de quitter la niche. Il fallait que je leur échappe,
que je leur désobéisse pour vivre. » F. G.
S'identifier pour envoyer des commentaires.